Prochainement en ligne, sera publiée la liste des associations membre du réseau No-Vox au Bénin.
Depuis plus de cinq jours, notre militant GOUGBONOU Gontran a été arrêté arbitrairement par les éléments du commissariat central d’Abomey-Calavi. Il fait partir des ténors qui luttent contre les accaparements de terre à Womey, principalement ceux relatifs à la mafia foncière dite « Affaire Marcos  ».
Déclaration de la Conférence de presse des militants(es) acquéreurs de parcelle à womey membre du réseau No-vox Benin pour dénoncer les propos d’intimidation du préfet et condamné les actes d’atrocités commis sur les militants
Compte rendu de la situation qui prévaut actuellement à Womey dans la commune d’ Abomey-Calavi suite à l’affaire d’accaparement des 200 hectares de terres par la famille Marcos et les multinationales avec la complicité des autorités béninoises !
No-Vox Bénin : destructions, arrestations, mobilisations, la lutte s’intensifie à Womey !
Les militants No Vox ont été libérés lundi 8 septembre, puis de nouveau convoqués mercredi 10 septembre. Le plaignant et le procureur étant absents au tribunal, ils ont dà » se rendre à la gendarmerie et sont re-convoqués lundi prochain. La population de Womey est décidé à soutenir massivement ses militants. La lutte continue !
Après la conférence de presse du 10 aoà »t et la mobilisation devant le tribunal le 12 aoà »t, le procès a été reporté ! La date n’est pas encore connue. La lutte continue !
Au Bénin, à Womey, une zone habitée par 15 000 personnes, depuis plus de 30 ans et d’une superficie de près de 192 hectares est menacée d’expropriation par la famille Marcos. Nous disons "Halte à l’injustice et aux déguerpissements forcés"
Le 14 octobre 2013, le camp d’Agamé, camp des refugiés togolais au Bénin a été démoli. Fuyant les violences auxquelles ils sont ou seront confrontés, les réfugiés sont partis à pieds, faisant des kilomètres avant de rejoindre Cotonou.
Mercredi 31 octobre 2012, une vague de déguerpissement a eu lieu au Bénin alors qu’un procès était en cours. Avant toute décision de justice et en présence d’agents du commissariat de Cotonou et d’un huissier, plusieurs maisons ont été détruites. Un conflit de propriétaires qui tourne à la catastrophe pour les habitant-e-s !